# Le PhoenixSam 21 Mar - 0:26
- Nom :Inconnu
- Prénom :Inconnu
- Surnom :Il se fait appeler "Le Phoenix" mais a une foule de peudonymes, tous en rapport avec l'Oiseau de Feu
- Age :27 ans (MAJ S3)
- Sexe :M
- Description physique :Il est difficile de faire une description physique précise du Phoenix, peu de personnes étant restées en vie pour le décrire. Néamoins, les témoiniages le montrent comme assez jeune, la vingtaine. Il serait de grande taille mesurant un petit peu moins d'un mètre quatre-vingt et pèserait dans les soixante-dix kilos. Ses cheveux seraient marrons et ses yeux gris.
- Signe particulier :...
- Caractère :Le Phoenix est un être extrêmement intelligent. Persuadé d'avoir êté choisi pour accomplir une mission divine, sa foi est très puissante et il méprise ceux qu'il nomme "les hérétiques" (comprenez par là toute personne croyante n'allant pas dans sa direction). Il voue un véritable culte à l'oeuvre de son illustre prédécésseur et s'efforce de lui ressembler le plus possible. Le Phoenix a un comportement bipolaire : il est généralement un homme doux et sociable, même durant ses "activités". En revanche, il peut entrer dans des colères folles et extrèmement destructrices. Dans ces cas là, sa cruauté ne possède plus de limites.
Ce nouveau Phoenix semble suivre à la lettre les traits de caractère de son prédécesseur. Voici ce que les notes de l'époque affirmaient :
Personnalité :Profil établi par David Marcus, expert en criminologie :
1. Le pseudonyme que s'est choisi « le Phoenix » cherche d'emblée à forcer l'admiration. Nous avons affaire à quelqu'un de très orgueilleux, très sûr de lui. Il faudra veiller à ménager la susceptibilité qui va de pair avec ce genre de narcissisme.
2. Ses motivations. La performance technique ainsi que l'habileté graphique avec laquelle le Phoenix a conçu son programme pourraient laisser penser que nous avons affaire à plusieurs individus. Les rares informations envoyées par Lorski avant sa disparition laissent pourtant supposer le contraire : il s'agirait d'un seul homme, qui, conscient de son « génie », cherche, à travers cette « réalisation », une forme de reconnaissance, constante que l'on retrouve chez certains tueurs en série. En créant des énigmes pour livrer au compte-gouttes des indices, en jouant sans cesse à cacher les informations qu'il consent à énoncer, le Phoenix s'affirme manipulateur et très intelligent. Personne ne peut douter de son intelligence. Il y tient. Sa capacité à imaginer des dispositifs ingénieux et complexes doit nous amener à prendre quelques précautions : l'individu se montre calculateur et par conséquent dangereux.
3. Le contenu des énigmes posées par le Phoenix prouve qu'il connaît plusieurs langues, y compris le latin, et qu'il est imprégné de références ésotériques. Il est sans doute issu d'un milieu social aisé. Tourné vers le passé, il alimente ses spéculations de connaissances religieuses et historiques. Tout cela peut paraître embrouillé mais ne nous y trompons pas : comme chez de nombreux tueurs en série, les actes du Phoenix suivent une logique dissimulée sous une apparence irrationnelle. Quelle Vérité le Phoenix cherche-t-il à nous révéler ? C'est sans doute en le découvrant que nous remonterons vers lui, comme ont dû le faire Jack Lorski et son amie.
4. Jack Lorski et Karen Gijman sont-ils en grand danger ? oui, si l'on considère qu'ils se trouvent entre les mains de quelqu'un qui n'hésitera pas à tuer ; non, si l'on s'en tient au fait que le Phoenix a tout fait de telle sorte que nous nous intéressions à lui, durablement ; il ne se sent pas lui-même au clair sur ce qui l'anime. D'une façon ou d'une autre, il a besoin de vous.
• E-mail n°2
1. Il porte un message. A l'opposé d'un criminel qui cherche à faire disparaître toute trace et se faire oublier dans la discrétion, le Phoenix exprime haut et fort qu'il détient un message. Déchiffrer et interpréter ce mystère principal semble la seule façon de désamorcer sa furie. Il nous faut, tactiquement au moins, accorder au Phoenix la «compréhension » qu'il sollicite.
2. L'inscription « Sol invictus » découverte à Oxford, est à mettre en parallèle avec le contenu du livre ancien (culte d'Helios) et les symboles planétaires sur lesquels le Phoenix attire notre attention en les utilisant sur son cd-rom : il y a une cohérence dans sa façon d'agir. Derrière les répétitions et les ressemblances se trouvent des liens, des significations. C'est seulement en découvrant ces liens que nous parviendrons à comprendre la motivation de ses actes.
3. La chasuble blanche, l'évocation du soleil, la cruauté sont des éléments qui expriment de fortes préoccupations inconscientes sur le thème de la culpabilité, de la punition et de la Rédemption. Nous n'avons pas affaire ici à un tueur en série agissant subitement à une pulsion d'ordre sexuel. Le Phoenix obéit à des compulsions récurrentes, longuement ressassées dans des spéculations morbides. Les meurtres sont accomplis suivant un protocole qu'il applique, sous la contrainte d'une obligation interne méticuleuse, comme s'il copiait un modèle (lequel ? « Un astre dont les ennemis n'ont pas triomphé » ?). Sans doute subit-il des idées envahissantes, un cauchemar qui revient sans cesse, le fantasme d'une mission qui seule pourrait venir à bout d'un profond sentiment de culpabilité.
4. Il tue de sang-froid. L'univers mental qu'il nous contraint à explorer, chargé d'ésotérisme et de mythologie, semble dépourvu d'humanité concrète. Les personnes sont cruellement éliminées sans émotion manifeste et probablement sans remords. Seules semblent le passionner des représentations anciennes de symboles, qui lui parlent. Avec le sang de ses victimes, il écrit.
5. Qui va l'emporter ? Le Phoenix a établi un contrat. Ce contrat comporte un chantage à la souffrance, une menace plane, mais tout est suspendu et pendant ce délai il nous invite à errer suivant ses indications dans les méandres de son imagination. A vous la position active. Le Phoenix se délecte probablement des barrières que vous faites tomber ; le risque s'avère énorme pour lui, mais il l'a programmé. Si le Phoenix acceptait de se considérer comme souffrant et entreprenait une psychothérapie il serait permis d'espérer sa guérison, mais il n'a probablement jamais consulté un spécialiste.
• E-mail n°3
1. Le Phoenix est particulièrement redoutable du fait de son intelligence et il semble animé par des idées qui se nourrissent à une source intarissable de faits troublants. En attendant d'en savoir plus sur ses pérégrinations, le Phoenix m'apparaît comme un individu déraciné, vagabond à l'échelle européenne, profondément solitaire. Sexuellement frustré. Insensibilité, immoralité, obstination et instabilité, je retrouve là le noyau classique d'une personnalité psychopathique.
2. Un fait semble acquis : le Phoenix chasse ses futures victimes sur Internet. Nombreuses parmi elles possédaient un site. Il va certainement insister et se manifester sous différents pseudonymes. Comme on l'observe chez d'autres criminels, l'efficacité de la dissimulation renforce l'ivresse de l'impunité : le défi à la police et des idées de grandeur produisent des déclarations emphatiques et provocantes. Quelquefois, il s'agit d'une conduite tellement imprudente qu'elle traduit une envie inconsciente de se faire arrêter.
3. L'accumulation d'indices piochés dans l'histoire, la religion, les représentations mythologiques, alimente le processus psychique dominant dans son fonctionnement mental : l'intellectualisation. Ce mécanisme lui permet de refouler la pensée des pulsions inavouables qui sont à l'œuvre lorsqu'il passe à l'acte. L'existence sensible est niée. Les émotions et les sentiments sont complètement évacués au profit d'une élaboration cérébrale fortement structurée. Tout ce qui devrait faire trembler la main, battre le cœur, en un mot douter, a disparu du champ de la conscience du Phoenix, aveuglé par des idéaux et des chimères.
4. Son sentiment de toute-puissance, sa mégalomanie, a enflé d'autant qu'il a échappé aux poursuites. De toutes façons, il ne se sent pas coupable mais au contraire justicier ! Le sentiment de culpabilité est ainsi entièrement rejeté par sa conscience, projeté et attribué à d'autres que lui : ses victimes sont des coupables. Il y a dans l'attitude et les propos du Phoenix des éléments qui appartiennent typiquement aux paranoïaques, notamment cette conviction de complot, de persécution, de ressentiment : à cet égard, la rencontre de l'Inquisition représente idéalement, cérébralement, le condensé de ce tout ce qu'il est possible d'imaginer comme piège, torture et dissimulation.
5. Sans nous sentir pour autant devenir paranoïaques il est temps de nous demander si tout cela peut bien être attribué à une personne seule. Depuis le début de cette affaire, je suis étonnée par les capacités du Phoenix. La double compétence, informatique et artistique, développée dans la réalisation du CD semblait déjà un cas rare ; si l'on y ajoute l'ensemble des déplacements, des actions et des connaissances il paraît raisonnable d'envisager en fait l'existence d'une deuxième personne. Le Phoenix a parfaitement pu subjuguer une personne de son entourage, l'entraîner dans ses convictions, la dominer et profiter ainsi d'aptitudes et de savoir-faire complémentaires.
6. L'hypothèse d'une secte, pratiquant des cultes sataniques et dont le Phoenix serait le gourou doit logiquement être envisagée. On pourrait ainsi relier les différents événements en supposant que le pseudonyme est le porte-parole d'un groupe d'individus qui agissent de concert. A ce stade, à vrai dire, la piste du serial killer isolé reste pourtant la plus probable, même si ses capacités hors du commun me laissent perplexe.
• E-mail n°4
1. In Memoriam , l'inscription retrouvée après le meurtre du journaliste nous donne plus qu'une signature : elle exprime la motivation que se donne le Phoenix, l'étendard sous lequel il est persuadé d'agir. Nous le savions plongé dans le passé, nous voyons maintenant qu'il fait ressurgir ce passé violemment dans le présent. Il est le soldat obéissant et fidèle d'un Cid Campeador, dont la dépouille embaumée cavale en tête.
2. Giordano Bruno. Que représente ce personnage ? Giordano Bruno, qui passait pour le savant le plus érudit de son temps, celui qui avait lu tous les livres publiés à son époque, est l'homme qui détient le Savoir absolu. Figure inégalable, écrasante, comme un Père. Mais dans la mémoire collective Giordano Bruno reste aussi l'homme qui a été condamné, et brûlé, pour les idées hérétiques nées de son imagination prolixe : il représente donc en même temps le danger des idées coupables, la punition des mauvaises pensées. Sur cette figure se condensent des fantasmes ambivalents. Entre un Surmoi écrasant et des pulsions interdites faisant irruption dans le Réel, toute culpabilité niée, sans parvenir à s'organiser des repères, le Phoenix, tel l'oiseau qui renaît de ses cendres s'est enfui dans l'imaginaire et le symbolique.. Il s'est mis à rechercher tout ce qui trouvait confusément un écho en lui, faisant fi de ce qui aurait pu le ramener à la raison commune. Persuadé d'accéder à la Vérité, il s'est méconnu. La folie n'est rien d'autre qu' « une infortune qui s'ignore ».
3. Le Phoenix est-il devenu schizophrène ? Nous avons déjà souligné le goût du Phoenix pour les énigmes, l'usage immodéré des noms propres, la pratique systématique des codes et des langues anciennes, la fascination pour les mythes et les abstractions hermétiques : on s'aperçoit finalement que le Phoenix a construit une symphonie personnelle, émanation d'un monde imaginaire. Sa pensée est dominée par le syncrétisme et le symbolisme. Les émotions cachées sous une indifférence pseudo-cynique laissent passer par bouffées des pulsions criminelles. Téléguidé par l'idée d'une vengeance à accomplir, en agissant In Memoriam, le Phoenix semble vivre une expérience de dépersonnalisation.
4. Attention ! Les tensions internes de la vie psychique du Phoenix ont dépassé de loin le seuil que la plupart d'entre nous supporteraient. Une brutale confrontation à un fait imprévu pourrait faire céder les dernières digues qui le maintiennent, par intermittence, dans un souci de communication avec vous.
• E-mail n°5
Jack et Karen sont sains et saufs. Nous sommes tous heureux de cette conclusion que je n'avais pas vraiment envisagée je dois l'avouer.
J'ai pu les interroger quelques heures après leur libération. Ils sont éprouvés bien sûr et cette longue captivité laissera des traces. Mais ils s'en remettront avec le temps. Ils m'ont donné certaines informations qui doivent encore rester confidentielles pour les besoins de l'enquête mais qui, globalement, renforcent mes convictions sur le mode de fonctionnement du Phoenix.
Heureusement, la folie du Phoenix, tout en poursuivant un but irrationnel et dément, répondait à une logique : Jack et Karen n'étant pas membre de Manus Domini, le Phoenix n'avait pas de raison de les tuer. Il a été fidèle à sa logique jusqu'au bout. Peut-être même qu'à ses yeux, Karen, victime elle aussi des agissements criminels de Manus Domini, faisait un peu figure de sœur.
Ils s'est donc servi d'eux pour nous faire partager sa conviction qu'il existe un terrible complot contre la vérité. Une manipulation venant d'en haut contre la diffusion de révélations qui ébranleraient certaines institutions, religieuses notamment.
- Prénom :Inconnu
- Surnom :Il se fait appeler "Le Phoenix" mais a une foule de peudonymes, tous en rapport avec l'Oiseau de Feu
- Age :27 ans (MAJ S3)
- Sexe :M
- Description physique :Il est difficile de faire une description physique précise du Phoenix, peu de personnes étant restées en vie pour le décrire. Néamoins, les témoiniages le montrent comme assez jeune, la vingtaine. Il serait de grande taille mesurant un petit peu moins d'un mètre quatre-vingt et pèserait dans les soixante-dix kilos. Ses cheveux seraient marrons et ses yeux gris.
- Signe particulier :...
- Caractère :Le Phoenix est un être extrêmement intelligent. Persuadé d'avoir êté choisi pour accomplir une mission divine, sa foi est très puissante et il méprise ceux qu'il nomme "les hérétiques" (comprenez par là toute personne croyante n'allant pas dans sa direction). Il voue un véritable culte à l'oeuvre de son illustre prédécésseur et s'efforce de lui ressembler le plus possible. Le Phoenix a un comportement bipolaire : il est généralement un homme doux et sociable, même durant ses "activités". En revanche, il peut entrer dans des colères folles et extrèmement destructrices. Dans ces cas là, sa cruauté ne possède plus de limites.
Ce nouveau Phoenix semble suivre à la lettre les traits de caractère de son prédécesseur. Voici ce que les notes de l'époque affirmaient :
Personnalité :Profil établi par David Marcus, expert en criminologie :
1. Le pseudonyme que s'est choisi « le Phoenix » cherche d'emblée à forcer l'admiration. Nous avons affaire à quelqu'un de très orgueilleux, très sûr de lui. Il faudra veiller à ménager la susceptibilité qui va de pair avec ce genre de narcissisme.
2. Ses motivations. La performance technique ainsi que l'habileté graphique avec laquelle le Phoenix a conçu son programme pourraient laisser penser que nous avons affaire à plusieurs individus. Les rares informations envoyées par Lorski avant sa disparition laissent pourtant supposer le contraire : il s'agirait d'un seul homme, qui, conscient de son « génie », cherche, à travers cette « réalisation », une forme de reconnaissance, constante que l'on retrouve chez certains tueurs en série. En créant des énigmes pour livrer au compte-gouttes des indices, en jouant sans cesse à cacher les informations qu'il consent à énoncer, le Phoenix s'affirme manipulateur et très intelligent. Personne ne peut douter de son intelligence. Il y tient. Sa capacité à imaginer des dispositifs ingénieux et complexes doit nous amener à prendre quelques précautions : l'individu se montre calculateur et par conséquent dangereux.
3. Le contenu des énigmes posées par le Phoenix prouve qu'il connaît plusieurs langues, y compris le latin, et qu'il est imprégné de références ésotériques. Il est sans doute issu d'un milieu social aisé. Tourné vers le passé, il alimente ses spéculations de connaissances religieuses et historiques. Tout cela peut paraître embrouillé mais ne nous y trompons pas : comme chez de nombreux tueurs en série, les actes du Phoenix suivent une logique dissimulée sous une apparence irrationnelle. Quelle Vérité le Phoenix cherche-t-il à nous révéler ? C'est sans doute en le découvrant que nous remonterons vers lui, comme ont dû le faire Jack Lorski et son amie.
4. Jack Lorski et Karen Gijman sont-ils en grand danger ? oui, si l'on considère qu'ils se trouvent entre les mains de quelqu'un qui n'hésitera pas à tuer ; non, si l'on s'en tient au fait que le Phoenix a tout fait de telle sorte que nous nous intéressions à lui, durablement ; il ne se sent pas lui-même au clair sur ce qui l'anime. D'une façon ou d'une autre, il a besoin de vous.
• E-mail n°2
1. Il porte un message. A l'opposé d'un criminel qui cherche à faire disparaître toute trace et se faire oublier dans la discrétion, le Phoenix exprime haut et fort qu'il détient un message. Déchiffrer et interpréter ce mystère principal semble la seule façon de désamorcer sa furie. Il nous faut, tactiquement au moins, accorder au Phoenix la «compréhension » qu'il sollicite.
2. L'inscription « Sol invictus » découverte à Oxford, est à mettre en parallèle avec le contenu du livre ancien (culte d'Helios) et les symboles planétaires sur lesquels le Phoenix attire notre attention en les utilisant sur son cd-rom : il y a une cohérence dans sa façon d'agir. Derrière les répétitions et les ressemblances se trouvent des liens, des significations. C'est seulement en découvrant ces liens que nous parviendrons à comprendre la motivation de ses actes.
3. La chasuble blanche, l'évocation du soleil, la cruauté sont des éléments qui expriment de fortes préoccupations inconscientes sur le thème de la culpabilité, de la punition et de la Rédemption. Nous n'avons pas affaire ici à un tueur en série agissant subitement à une pulsion d'ordre sexuel. Le Phoenix obéit à des compulsions récurrentes, longuement ressassées dans des spéculations morbides. Les meurtres sont accomplis suivant un protocole qu'il applique, sous la contrainte d'une obligation interne méticuleuse, comme s'il copiait un modèle (lequel ? « Un astre dont les ennemis n'ont pas triomphé » ?). Sans doute subit-il des idées envahissantes, un cauchemar qui revient sans cesse, le fantasme d'une mission qui seule pourrait venir à bout d'un profond sentiment de culpabilité.
4. Il tue de sang-froid. L'univers mental qu'il nous contraint à explorer, chargé d'ésotérisme et de mythologie, semble dépourvu d'humanité concrète. Les personnes sont cruellement éliminées sans émotion manifeste et probablement sans remords. Seules semblent le passionner des représentations anciennes de symboles, qui lui parlent. Avec le sang de ses victimes, il écrit.
5. Qui va l'emporter ? Le Phoenix a établi un contrat. Ce contrat comporte un chantage à la souffrance, une menace plane, mais tout est suspendu et pendant ce délai il nous invite à errer suivant ses indications dans les méandres de son imagination. A vous la position active. Le Phoenix se délecte probablement des barrières que vous faites tomber ; le risque s'avère énorme pour lui, mais il l'a programmé. Si le Phoenix acceptait de se considérer comme souffrant et entreprenait une psychothérapie il serait permis d'espérer sa guérison, mais il n'a probablement jamais consulté un spécialiste.
• E-mail n°3
1. Le Phoenix est particulièrement redoutable du fait de son intelligence et il semble animé par des idées qui se nourrissent à une source intarissable de faits troublants. En attendant d'en savoir plus sur ses pérégrinations, le Phoenix m'apparaît comme un individu déraciné, vagabond à l'échelle européenne, profondément solitaire. Sexuellement frustré. Insensibilité, immoralité, obstination et instabilité, je retrouve là le noyau classique d'une personnalité psychopathique.
2. Un fait semble acquis : le Phoenix chasse ses futures victimes sur Internet. Nombreuses parmi elles possédaient un site. Il va certainement insister et se manifester sous différents pseudonymes. Comme on l'observe chez d'autres criminels, l'efficacité de la dissimulation renforce l'ivresse de l'impunité : le défi à la police et des idées de grandeur produisent des déclarations emphatiques et provocantes. Quelquefois, il s'agit d'une conduite tellement imprudente qu'elle traduit une envie inconsciente de se faire arrêter.
3. L'accumulation d'indices piochés dans l'histoire, la religion, les représentations mythologiques, alimente le processus psychique dominant dans son fonctionnement mental : l'intellectualisation. Ce mécanisme lui permet de refouler la pensée des pulsions inavouables qui sont à l'œuvre lorsqu'il passe à l'acte. L'existence sensible est niée. Les émotions et les sentiments sont complètement évacués au profit d'une élaboration cérébrale fortement structurée. Tout ce qui devrait faire trembler la main, battre le cœur, en un mot douter, a disparu du champ de la conscience du Phoenix, aveuglé par des idéaux et des chimères.
4. Son sentiment de toute-puissance, sa mégalomanie, a enflé d'autant qu'il a échappé aux poursuites. De toutes façons, il ne se sent pas coupable mais au contraire justicier ! Le sentiment de culpabilité est ainsi entièrement rejeté par sa conscience, projeté et attribué à d'autres que lui : ses victimes sont des coupables. Il y a dans l'attitude et les propos du Phoenix des éléments qui appartiennent typiquement aux paranoïaques, notamment cette conviction de complot, de persécution, de ressentiment : à cet égard, la rencontre de l'Inquisition représente idéalement, cérébralement, le condensé de ce tout ce qu'il est possible d'imaginer comme piège, torture et dissimulation.
5. Sans nous sentir pour autant devenir paranoïaques il est temps de nous demander si tout cela peut bien être attribué à une personne seule. Depuis le début de cette affaire, je suis étonnée par les capacités du Phoenix. La double compétence, informatique et artistique, développée dans la réalisation du CD semblait déjà un cas rare ; si l'on y ajoute l'ensemble des déplacements, des actions et des connaissances il paraît raisonnable d'envisager en fait l'existence d'une deuxième personne. Le Phoenix a parfaitement pu subjuguer une personne de son entourage, l'entraîner dans ses convictions, la dominer et profiter ainsi d'aptitudes et de savoir-faire complémentaires.
6. L'hypothèse d'une secte, pratiquant des cultes sataniques et dont le Phoenix serait le gourou doit logiquement être envisagée. On pourrait ainsi relier les différents événements en supposant que le pseudonyme est le porte-parole d'un groupe d'individus qui agissent de concert. A ce stade, à vrai dire, la piste du serial killer isolé reste pourtant la plus probable, même si ses capacités hors du commun me laissent perplexe.
• E-mail n°4
1. In Memoriam , l'inscription retrouvée après le meurtre du journaliste nous donne plus qu'une signature : elle exprime la motivation que se donne le Phoenix, l'étendard sous lequel il est persuadé d'agir. Nous le savions plongé dans le passé, nous voyons maintenant qu'il fait ressurgir ce passé violemment dans le présent. Il est le soldat obéissant et fidèle d'un Cid Campeador, dont la dépouille embaumée cavale en tête.
2. Giordano Bruno. Que représente ce personnage ? Giordano Bruno, qui passait pour le savant le plus érudit de son temps, celui qui avait lu tous les livres publiés à son époque, est l'homme qui détient le Savoir absolu. Figure inégalable, écrasante, comme un Père. Mais dans la mémoire collective Giordano Bruno reste aussi l'homme qui a été condamné, et brûlé, pour les idées hérétiques nées de son imagination prolixe : il représente donc en même temps le danger des idées coupables, la punition des mauvaises pensées. Sur cette figure se condensent des fantasmes ambivalents. Entre un Surmoi écrasant et des pulsions interdites faisant irruption dans le Réel, toute culpabilité niée, sans parvenir à s'organiser des repères, le Phoenix, tel l'oiseau qui renaît de ses cendres s'est enfui dans l'imaginaire et le symbolique.. Il s'est mis à rechercher tout ce qui trouvait confusément un écho en lui, faisant fi de ce qui aurait pu le ramener à la raison commune. Persuadé d'accéder à la Vérité, il s'est méconnu. La folie n'est rien d'autre qu' « une infortune qui s'ignore ».
3. Le Phoenix est-il devenu schizophrène ? Nous avons déjà souligné le goût du Phoenix pour les énigmes, l'usage immodéré des noms propres, la pratique systématique des codes et des langues anciennes, la fascination pour les mythes et les abstractions hermétiques : on s'aperçoit finalement que le Phoenix a construit une symphonie personnelle, émanation d'un monde imaginaire. Sa pensée est dominée par le syncrétisme et le symbolisme. Les émotions cachées sous une indifférence pseudo-cynique laissent passer par bouffées des pulsions criminelles. Téléguidé par l'idée d'une vengeance à accomplir, en agissant In Memoriam, le Phoenix semble vivre une expérience de dépersonnalisation.
4. Attention ! Les tensions internes de la vie psychique du Phoenix ont dépassé de loin le seuil que la plupart d'entre nous supporteraient. Une brutale confrontation à un fait imprévu pourrait faire céder les dernières digues qui le maintiennent, par intermittence, dans un souci de communication avec vous.
• E-mail n°5
Jack et Karen sont sains et saufs. Nous sommes tous heureux de cette conclusion que je n'avais pas vraiment envisagée je dois l'avouer.
J'ai pu les interroger quelques heures après leur libération. Ils sont éprouvés bien sûr et cette longue captivité laissera des traces. Mais ils s'en remettront avec le temps. Ils m'ont donné certaines informations qui doivent encore rester confidentielles pour les besoins de l'enquête mais qui, globalement, renforcent mes convictions sur le mode de fonctionnement du Phoenix.
Heureusement, la folie du Phoenix, tout en poursuivant un but irrationnel et dément, répondait à une logique : Jack et Karen n'étant pas membre de Manus Domini, le Phoenix n'avait pas de raison de les tuer. Il a été fidèle à sa logique jusqu'au bout. Peut-être même qu'à ses yeux, Karen, victime elle aussi des agissements criminels de Manus Domini, faisait un peu figure de sœur.
Ils s'est donc servi d'eux pour nous faire partager sa conviction qu'il existe un terrible complot contre la vérité. Une manipulation venant d'en haut contre la diffusion de révélations qui ébranleraient certaines institutions, religieuses notamment.
en bref
# Re: Le PhoenixSam 21 Mar - 0:27
MODE OPÉRATOIRE ET SIGNATURE DU PHOENIX
Afin de mieux comprendre et d'anticiper les actes criminels d'un tueur en série, les enquêteurs étudient toujours deux éléments très caractéristiques : son modus operandi (mode opératoire) qui est la manière dont il opère pour commettre ses meurtres, et sa signature qui est un peu la « carte de visite » qu'il laisse sur chacune des scènes de crime.
Le mode opératoire concerne le type de victimes (hommes, femmes, personnes âgées, enfants, etc.), l'endroit et l'heure des crimes (dans une maison, un parking, un véhicule, de jour ou de nuit, etc.), les outils et le matériel utilisés pour tuer (corde, arme blanche ou à feu, poison, etc.), la manière dont l'agresseur approche ou attaque ses victimes (déguisement, utilisation d'Internet, charme, etc.), la présence ou non d'un complice (occasionnel ou habituel) et, enfin, tous les indices que le tueur a pu laisser derrière lui et qui expliquent comment il a opéré (traces d'effraction, empoisonnement d'un chien, par exemple).
La signature concerne plus ce qui permet de cerner la psychologie du tueur et ses motivations. Elle est ancrée dans sa nature profonde et c'est pourquoi il la répète à chaque meurtre. On peut presque décrire la signature d'un tueur comme étant « ce qu'il fait en trop », c'est à dire l'ensemble des actes qu'il commet mais qui sont « inutiles » ou « superflus » pour tuer ses victimes : tortures, mutilations, viol, etc. La signature concerne également la manière dont le tueur utilise les cadavres de ses victimes (inscriptions sur le corps, mises en position vulnérable ou dégradante, ou même mises en scène macabres avec accessoires) et, enfin, elle concerne toutes les sortes de messages (lettres, inscriptions sur les murs, signes étranges, etc.) que le tueur peut avoir volontairement laissés sur place.
Dans le cas du Phoenix et selon nos dernières informations, il semble avoir changé trois fois de mode opératoire et même de signature. D'après les spécialistes, cela arrive parfois lorsqu'il s'agit de tueurs particulièrement intelligents qui se sentent menacés ou qui doivent faire face à un évènement imprévu ; ce peut être également un choix délibéré de leur part indiquant alors un changement dans leurs motivations. Plusieurs meurtres dont le modus operandi diffère peuvent donc parfaitement être reliés et apparentés au même tueur.
ANALYSE DES DOUZE PREMIERS MEURTRES
• Mode opératoire
1. Bien que les douze premières victimes soient d'âge et de sexe différents, elles étaient toutes membres de Manus Domini. Selon les écrits du tueur, c'est cette appartenance commune à cette société secrète qui a motivé le choix de ses victimes ; c'était pour lui une manière de venger le professeur Peter Volker, assassiné en 1975 par des sbires de cette organisation.
2. Les lieux des crimes diffèrent mais toutes les villes choisies sont liées au long parcours européen qu'entreprit le philosophe italien Giordano Bruno de 1565 à 1600 (Photo 1). De plus, dans chacune de ces villes, le Phoenix a choisi des endroits précis où son maître avait vécu ou enseigné, et où il s'était heurté à l'autorité religieuse, politique ou scientifique de l'époque. Le tueur réalisait ainsi un autre de ses objectifs : venger Giordano Bruno, condamné au bûcher en 1600 par la terrible Inquisition médiévale, dont Manus Domini semble être l'actuelle héritière.
Le choix de Guido Corliano, chef de Manus Domini en Europe, comme dernière victime de cette première série de meurtres, le choix de la Piazza Campo de' Fiori de Rome, où fut brûlé Giordano Bruno, comme lieu de ce crime, et enfin le choix du 17 février, identique à la date de décès du philosophe, comme jour du crime, ajoutent encore à la dimension hautement symbolique que le Phoenix a voulu donner à tous ses actes et témoignent du soin, de la précison et de la détermination avec lesquels il les a préparés et accomplis.
3. Un autre point commun entre ces douze meurtres est la manière dont le Phoenix semble avoir trouvé ses victimes : il dit les avoir toutes identifiées par Internet, grâce à leur site personnel (José Cortado, Helena Whitford, Hilde Gardener, Carl Breitner), leur site professionnel (le frère Francesco, l'abbé Malard, Markus Hermann) ou même grâce aux sites de leurs proches ou d'associations dont ils faisaient partie (Gianni Maggioli, Carolina Molikova, Francesca Bartolini). Pour Guido Corliano, éminent spécialiste des langues anciennes, les enquêteurs pensent que le Phoenix le connaissait, au moins de nom, avant d'entamer sa série de meurtres ; quant à Antonio Foscarini, le tueur n'a pas eu besoin de le chercher puisque le journaliste enquêtait sur lui, il lui a suffi de l'attirer dans un piège qui respecte le rituel qu'il s'était fixé (tuer sa sixième proie à Paris), ce qui prouve d'ailleurs son étonnante capacité d'adaptation et l'extraordinaire sang-froid dont il peut faire preuve en cas de danger.
4. Le Phoenix a varié ses méthodes pour tuer ses victimes (arme à feu, arme blanche, étranglement, etc.) mais il n'a jamais utilisé de moyens indirects (sabotages ou plasticages de voiture, boissons empoisonnées, logements piégés, etc.), cela démontre au mieux sa totale insensibilité, au pire un plaisir certain à donner la mort de ses propres mains. Il est possible aussi que certaines manières de tuer fassent partie de la mise en scène de ses crimes.
5. Enfin, il semble que le tueur ait agi seul, soit en séduisant ses futures victimes (principalement les femmes), soit en usant de sa force (pour les victimes âgées ou physiquement faibles), soit en leur tendant des pièges (pour les victimes plus fortes). Là encore, l'utilisation alternée du charme, de la force et de la ruse en fonction de l'adversaire prouve sa faculté d'adaptation à toutes les situations, ce qui ne fait que renforcer son imprévisibilité et accroître sa « dangerosité ».
• Signature
1. La principale signature du Phoenix lors de ses douze premiers meurtres est la manière dont il a mis en scène les cadavres de ses victimes. Chacun d'eux, parfois accompagné d'accessoires, a été disposé de telle sorte qu'il rappelle l'énoncé d'un des douze principes élémentaires de la magie brunienne que le philosophe italien a décrit en 1591 dans son ultime traité, De imaginum idearum compositione ; sur le front de certaines victimes, le Phoenix a même marqué au fer rouge les symboles astrologiques correspondant à ces principes. Non seulement ces attentions macabres confirment la relation directe qui existe entre tous ces meurtres et Giordano Bruno, mais elles mettent l'accent sur une particularité du philosophe : son attachement à la magie solaire et à l'hermétisme égyptien.
2. Près de chaque cadavre, ou parfois même dessus, le Phoenix a tracé l'inscription latine « SOL INVICTUS » (
), le plus généralement avec le propre sang des victimes. Ce message lié au nom que le tueur s'est lui-même choisi, « Le Phoenix », fait de nouveau référence au culte solaire et à la tradition magique de l'Égypte ancienne.
3. Le Phoenix n'a violé aucune de ses victimes mais il les a presque toutes méticuleusement torturées, le plus souvent en les brûlant au fer rouge ou parfois en utilisant une arme blanche. Le tueur ne semble donc pas agir sous l'emprise de pulsions sexuelles ou criminelles, mais plutôt d'une manière réfléchie et préméditée.
ANALYSE DU TREIZIÈME MEURTRE
La mort d'Alex Borgo ne présente aucune caractéristique commune avec les douze premiers meurtres du Phoenix, ni même avec ceux qui vont suivre. La victime qui n'était pas membre de Manus Domini a été tuée chez elle, d'un seul coup de fusil tiré à bout portant ; de plus, ce meurtre semble avoir été maquillé en suicide, ce qui va totalement à l'encontre des précédentes habitudes du Phoenix. Le mode opératoire très classique et l'absence totale de signature ne font d'ailleurs pas penser au crime d'un serial killer, mais plutôt à un règlement de compte crapuleux ou passionnel commis par un tueur occasionnel. Plusieurs mois après l'avoir perpétré, le tueur a pourtant revendiqué ce meurtre dans un cd-rom envoyé à SKL Network, en expliquant qu'il avait éliminé Borgo uniquement parce que l'enquête du journaliste sur la société secrète Manus Domini risquait de perturber ses plans et particulièrement sa recherche du codex 14. Sans cet aveu, il aurait été bien difficile aux enquêteurs de relier ce crime aux douze précédents.
Afin de mieux comprendre et d'anticiper les actes criminels d'un tueur en série, les enquêteurs étudient toujours deux éléments très caractéristiques : son modus operandi (mode opératoire) qui est la manière dont il opère pour commettre ses meurtres, et sa signature qui est un peu la « carte de visite » qu'il laisse sur chacune des scènes de crime.
Le mode opératoire concerne le type de victimes (hommes, femmes, personnes âgées, enfants, etc.), l'endroit et l'heure des crimes (dans une maison, un parking, un véhicule, de jour ou de nuit, etc.), les outils et le matériel utilisés pour tuer (corde, arme blanche ou à feu, poison, etc.), la manière dont l'agresseur approche ou attaque ses victimes (déguisement, utilisation d'Internet, charme, etc.), la présence ou non d'un complice (occasionnel ou habituel) et, enfin, tous les indices que le tueur a pu laisser derrière lui et qui expliquent comment il a opéré (traces d'effraction, empoisonnement d'un chien, par exemple).
La signature concerne plus ce qui permet de cerner la psychologie du tueur et ses motivations. Elle est ancrée dans sa nature profonde et c'est pourquoi il la répète à chaque meurtre. On peut presque décrire la signature d'un tueur comme étant « ce qu'il fait en trop », c'est à dire l'ensemble des actes qu'il commet mais qui sont « inutiles » ou « superflus » pour tuer ses victimes : tortures, mutilations, viol, etc. La signature concerne également la manière dont le tueur utilise les cadavres de ses victimes (inscriptions sur le corps, mises en position vulnérable ou dégradante, ou même mises en scène macabres avec accessoires) et, enfin, elle concerne toutes les sortes de messages (lettres, inscriptions sur les murs, signes étranges, etc.) que le tueur peut avoir volontairement laissés sur place.
Dans le cas du Phoenix et selon nos dernières informations, il semble avoir changé trois fois de mode opératoire et même de signature. D'après les spécialistes, cela arrive parfois lorsqu'il s'agit de tueurs particulièrement intelligents qui se sentent menacés ou qui doivent faire face à un évènement imprévu ; ce peut être également un choix délibéré de leur part indiquant alors un changement dans leurs motivations. Plusieurs meurtres dont le modus operandi diffère peuvent donc parfaitement être reliés et apparentés au même tueur.
ANALYSE DES DOUZE PREMIERS MEURTRES
• Mode opératoire
1. Bien que les douze premières victimes soient d'âge et de sexe différents, elles étaient toutes membres de Manus Domini. Selon les écrits du tueur, c'est cette appartenance commune à cette société secrète qui a motivé le choix de ses victimes ; c'était pour lui une manière de venger le professeur Peter Volker, assassiné en 1975 par des sbires de cette organisation.
2. Les lieux des crimes diffèrent mais toutes les villes choisies sont liées au long parcours européen qu'entreprit le philosophe italien Giordano Bruno de 1565 à 1600 (Photo 1). De plus, dans chacune de ces villes, le Phoenix a choisi des endroits précis où son maître avait vécu ou enseigné, et où il s'était heurté à l'autorité religieuse, politique ou scientifique de l'époque. Le tueur réalisait ainsi un autre de ses objectifs : venger Giordano Bruno, condamné au bûcher en 1600 par la terrible Inquisition médiévale, dont Manus Domini semble être l'actuelle héritière.
Le choix de Guido Corliano, chef de Manus Domini en Europe, comme dernière victime de cette première série de meurtres, le choix de la Piazza Campo de' Fiori de Rome, où fut brûlé Giordano Bruno, comme lieu de ce crime, et enfin le choix du 17 février, identique à la date de décès du philosophe, comme jour du crime, ajoutent encore à la dimension hautement symbolique que le Phoenix a voulu donner à tous ses actes et témoignent du soin, de la précison et de la détermination avec lesquels il les a préparés et accomplis.
3. Un autre point commun entre ces douze meurtres est la manière dont le Phoenix semble avoir trouvé ses victimes : il dit les avoir toutes identifiées par Internet, grâce à leur site personnel (José Cortado, Helena Whitford, Hilde Gardener, Carl Breitner), leur site professionnel (le frère Francesco, l'abbé Malard, Markus Hermann) ou même grâce aux sites de leurs proches ou d'associations dont ils faisaient partie (Gianni Maggioli, Carolina Molikova, Francesca Bartolini). Pour Guido Corliano, éminent spécialiste des langues anciennes, les enquêteurs pensent que le Phoenix le connaissait, au moins de nom, avant d'entamer sa série de meurtres ; quant à Antonio Foscarini, le tueur n'a pas eu besoin de le chercher puisque le journaliste enquêtait sur lui, il lui a suffi de l'attirer dans un piège qui respecte le rituel qu'il s'était fixé (tuer sa sixième proie à Paris), ce qui prouve d'ailleurs son étonnante capacité d'adaptation et l'extraordinaire sang-froid dont il peut faire preuve en cas de danger.
4. Le Phoenix a varié ses méthodes pour tuer ses victimes (arme à feu, arme blanche, étranglement, etc.) mais il n'a jamais utilisé de moyens indirects (sabotages ou plasticages de voiture, boissons empoisonnées, logements piégés, etc.), cela démontre au mieux sa totale insensibilité, au pire un plaisir certain à donner la mort de ses propres mains. Il est possible aussi que certaines manières de tuer fassent partie de la mise en scène de ses crimes.
5. Enfin, il semble que le tueur ait agi seul, soit en séduisant ses futures victimes (principalement les femmes), soit en usant de sa force (pour les victimes âgées ou physiquement faibles), soit en leur tendant des pièges (pour les victimes plus fortes). Là encore, l'utilisation alternée du charme, de la force et de la ruse en fonction de l'adversaire prouve sa faculté d'adaptation à toutes les situations, ce qui ne fait que renforcer son imprévisibilité et accroître sa « dangerosité ».
• Signature
1. La principale signature du Phoenix lors de ses douze premiers meurtres est la manière dont il a mis en scène les cadavres de ses victimes. Chacun d'eux, parfois accompagné d'accessoires, a été disposé de telle sorte qu'il rappelle l'énoncé d'un des douze principes élémentaires de la magie brunienne que le philosophe italien a décrit en 1591 dans son ultime traité, De imaginum idearum compositione ; sur le front de certaines victimes, le Phoenix a même marqué au fer rouge les symboles astrologiques correspondant à ces principes. Non seulement ces attentions macabres confirment la relation directe qui existe entre tous ces meurtres et Giordano Bruno, mais elles mettent l'accent sur une particularité du philosophe : son attachement à la magie solaire et à l'hermétisme égyptien.
2. Près de chaque cadavre, ou parfois même dessus, le Phoenix a tracé l'inscription latine « SOL INVICTUS » (
), le plus généralement avec le propre sang des victimes. Ce message lié au nom que le tueur s'est lui-même choisi, « Le Phoenix », fait de nouveau référence au culte solaire et à la tradition magique de l'Égypte ancienne. 3. Le Phoenix n'a violé aucune de ses victimes mais il les a presque toutes méticuleusement torturées, le plus souvent en les brûlant au fer rouge ou parfois en utilisant une arme blanche. Le tueur ne semble donc pas agir sous l'emprise de pulsions sexuelles ou criminelles, mais plutôt d'une manière réfléchie et préméditée.
ANALYSE DU TREIZIÈME MEURTRE
La mort d'Alex Borgo ne présente aucune caractéristique commune avec les douze premiers meurtres du Phoenix, ni même avec ceux qui vont suivre. La victime qui n'était pas membre de Manus Domini a été tuée chez elle, d'un seul coup de fusil tiré à bout portant ; de plus, ce meurtre semble avoir été maquillé en suicide, ce qui va totalement à l'encontre des précédentes habitudes du Phoenix. Le mode opératoire très classique et l'absence totale de signature ne font d'ailleurs pas penser au crime d'un serial killer, mais plutôt à un règlement de compte crapuleux ou passionnel commis par un tueur occasionnel. Plusieurs mois après l'avoir perpétré, le tueur a pourtant revendiqué ce meurtre dans un cd-rom envoyé à SKL Network, en expliquant qu'il avait éliminé Borgo uniquement parce que l'enquête du journaliste sur la société secrète Manus Domini risquait de perturber ses plans et particulièrement sa recherche du codex 14. Sans cet aveu, il aurait été bien difficile aux enquêteurs de relier ce crime aux douze précédents.
en bref
# Re: Le PhoenixSam 21 Mar - 0:28
INFORMATIONS SUR LES NOUVEAUX MEURTRES
• Mode opératoire
Dans l'état actuel de nos recherches, il nous est encore impossible de définir un mode opératoire commun aux trois meurtres commis en Espagne, et à celui de Jack Lorski commis en Écosse. Tout ce que l'on sait actuellement, c'est que les victimes espagnoles étaient des hommes d'une même tranche d'âge (60-70 ans) qui habitaient tous les trois dans la région de Grenade, en Andalousie.
Nous n'avons hélas aucune information précise et vérifiée sur les circonstances de la mort de notre ami Jack et nous espérons vivement que le décryptage du DVD-ROM reçu récemment par le président de l'ICPA nous renseigne à ce sujet.
• Signature
En revanche, s'il est encore trop tôt pour désigner le Phoenix, nous sommes maintenant persuadés que ces quatre meurtres ont bien été commis par une seule et même personne ; en effet, leur signature est nette et précise :
1. Les quatre victimes ont été sauvagement torturées puis tuées à l'arme blanche. Elles présentaient toutes de nombreuses blessures pré-mortem.
2. Les bouches des quatre victimes ont été entaillées en forme de croix et contenaient un morceau de parchemin représentant une partie d'un cadran solaire.
3. Enfin, les quatre corps ont été amputés d'un membre ou d'un organe : une main, une oreille et la langue pour les trois victimes espagnoles, et une grande partie du tronc pour Jack Lorski.
Tous ces signes, toutes ces « marques de fabrique » sont la preuve que ce tueur en série, Phoenix ou pas, respecte un rituel bien défini. Cette nouvelle signature, sensiblement différente de celle des douze premiers meurtres, peut être le signe d'une évolution ou d'un changement de comportement lié à des faits nouveaux (la récupération du codex 14, par exemple). Si tel est le cas, cela signifie que le Phoenix s'est fixé un nouvel objectif, certainement redoutable, et qu'il a entamé une nouvelle série de meurtres rituels, encore plus atroces que les premiers, pour l'atteindre coûte que coûte.
MESSAGES DU PHOENIX
Le Phoenix a besoin de voir sa puissance reconnue, allant même jusqu'à narguer la police en lui fournissant des indices (les cd-roms), comme s'il puisait des forces supplémentaires dans les dispositifs mis en place pour le capturer. Cette soif de reconnaissance se traduit également par son besoin de communiquer avec ceux qui le traquent et de leur expliquer ses actes, voire de les justifier. Pour vous permettre de mieux comprendre la personnalité de ce tueur, nous avons sélectionné ci-dessous ses principaux messages.
E-mail envoyé après la libération de Jack Lorski et de Karen Gijman
Tout était prévu depuis le début. Tout.
Sauf l'entêtement de Jack.
Son obstination à suivre mes traces m'a tout d'abord exaspéré.
Mais très vite j'ai compris que lui et sa copine pourraient servir la réalisation de l'Oeuvre, tout au moins contribuer à la faire connaître.
Car ces deux là n'étaient pas Elus.
Tout était prévu. Tout.
Je savais qu'un jour ou l'autre quelqu'un parviendrait à déchiffrer l'Œuvre.
Si ça n'avait pas été toi cela aurait été un autre.
Je savais qu'un jour ou l'autre, ils viendraient les délivrer.
Ils sont venus mais ne m'ont pas trouvé.
Au moment où ils sont arrivés pour les libérer j'étais déjà loin. Très loin.
Ils ne me trouveront pas. Jamais.
Son Œuvre accomplie le Phoenix s'est envolé vers le soleil.
Le Soleil noir, invincible.
Message écrit sur son site Internet le 17 février 2004
J'étais sûr que tu parviendrais jusqu'ici poussin
En ouvrant une à une les portes de mon Oeuvre
Tu as fini par penser comme moi
Tu as fini pas devenir un Elu
Tu connais désormais une partie de la Vérité
Ouvrir ce testament et le parcourir
Ne pouvait être pour toi qu'un jeu
Avant de disparaitre définitivement j'ai souhaité te laisser ce testament
Le 17 février 2003 Guido Forlino dit Guido Corliano fut ma dernière victime.
Responsable de Manus Domini il a payé comme les autres
Il a payé pour ses prédécesseurs
Ceux qui ont ordonné l'éxécution de Volker
En hommage à mon maître, j'ai laissé son cadavre sur la Campo Dei Fiori
Mais avant de mourir Guido m'a donné une information capitale
Je connais maintenant le lieu où le livre maudit est conservé
Je sais maintenant qui détient l'ouvrage
Et qui protège Manus Domini
Et ma vengeance ne fait que commencer
Gerd Hanke et les autres sont désormais sur mes traces
Ils possèdent des informations qui pourraient permettre de me retrouver
La prudence impose de me faire oublier quelques mois
En hommage à mon maître j'ai choisi de disparaitre
Le 17 février…
Nul doute que mon absence créera un vide
Même les monstres ont leurs idoles
Emportant avec moi les secrets qui ne peuvent être dévoilés qu'à certains Elus
Je m'envole définitivement vers le Soleil noir invincible
Dernier message écrit sur son cd-rom blanc
Ha ha ha cet Alex était bien naïf !
Il croyait pouvoir détruire à lui tout seul Manus Domini ! Quel orgueil !
Quoiqu'il en soit, son reportage risquait de compromettre mes plans ;
Malgré toute la haine que je porte pour cette organisation
J'ai préféré le faire taire…
Il n'a pas souffert… ou très peu.
Pour accomplir l'Oeuvre Ultime, sa mort était nécessaire.
Avant de mourir Guido Corliano, le dirigeant de Manus Domini,
M'a donné les informations qui vont me permettre de retrouver
Le Livre
Je ne voulais pas que la police compromette mon plan en fouillant
Dans les arcanes de l'organisation et dans son passé.
Désormais plus rien ne pourra arrêter la Résurrection du Phoenix.
Les Anges de Prague se souviennent et pleurent
Mais le Phoenix guidé par sa Mission Suprême ne les entend pas ;
Il plane au dessus du monde des hommes,
Au dessus de la sphère des Anges,
Très haut dans la Lumière du Soleil Noir,
Là où il est impossible de distinguer le Bien du Mal.
L'Œuvre Ultime s'accomplira…
E-mail envoyé après le décryptage du cd-rom blanc
Tu connais maintenant la Vérité, Poussin
Si Jésus invoqua certains Démons au moment de mourir
C'est parce qu'il était Initié
A ces rites secrets qu'on tente depuis des siècles de nous cacher
Giordano l'avait découvert en son temps
Ils l'ont tué pour cela
Le Phoenix l'a vengé
Mais le Livre existe
Tous ceux qui ont tenté de s'en emparer
Sont morts tragiquement
Assassinés par Manus Domini
Ou sacrifiés comme Carolina sur l'autel du Soleil Noir
Par mes soins.
Cette Quête ne peut pas être partagée
Elle sera achevée
Le jour où j'aurais enfin le Livre entre les mains
Car je suis le seul capable d'en saisir tous les secrets.
Message écrit sur son site Internet le 17 février 2005
Te voici arrivé au seuil de ton initiation, Poussin
Tu connais maintenant l'identité de Luna
J'avais entretenu une longue correspondance avec elle par Internet
Cette petite a été bien naïve d'accepter ce rendez-vous
Attirée par le mystère et par mon pouvoir de séduction
Sa curiosité n'a pas résistée très longtemps…
La pleine lune brillait ce soir là sur la lagune.
J'avais pris soin de neutraliser ce brave Jack et sa jolie compagne.
J'ai déposé son corps supplicié devant le Palais du traître.
Je marche désormais vers la Lumière
Personne, même Gerd Hanke, ne pourra m'arrêter
Le Livre maudit me dévoilera ses secrets
La Résurrection est en marche
A bientôt Poussin
Message du Nouveau Phoenix, gravé sur une de ses victimes le 17 Février 2203
Vous avez failli l'avoir.
Vous avez failli nous avoir.
Vous avez failli m'avoir.
Mais vous n'avez pas réussi.
Mon maître n'est pas mort dans les flammes.
Car comme tout Phoenix il en ressucite.
Alors oui, je le calme :
J'arrive !!!
• Mode opératoire
Dans l'état actuel de nos recherches, il nous est encore impossible de définir un mode opératoire commun aux trois meurtres commis en Espagne, et à celui de Jack Lorski commis en Écosse. Tout ce que l'on sait actuellement, c'est que les victimes espagnoles étaient des hommes d'une même tranche d'âge (60-70 ans) qui habitaient tous les trois dans la région de Grenade, en Andalousie.
Nous n'avons hélas aucune information précise et vérifiée sur les circonstances de la mort de notre ami Jack et nous espérons vivement que le décryptage du DVD-ROM reçu récemment par le président de l'ICPA nous renseigne à ce sujet.
• Signature
En revanche, s'il est encore trop tôt pour désigner le Phoenix, nous sommes maintenant persuadés que ces quatre meurtres ont bien été commis par une seule et même personne ; en effet, leur signature est nette et précise :
1. Les quatre victimes ont été sauvagement torturées puis tuées à l'arme blanche. Elles présentaient toutes de nombreuses blessures pré-mortem.
2. Les bouches des quatre victimes ont été entaillées en forme de croix et contenaient un morceau de parchemin représentant une partie d'un cadran solaire.
3. Enfin, les quatre corps ont été amputés d'un membre ou d'un organe : une main, une oreille et la langue pour les trois victimes espagnoles, et une grande partie du tronc pour Jack Lorski.
Tous ces signes, toutes ces « marques de fabrique » sont la preuve que ce tueur en série, Phoenix ou pas, respecte un rituel bien défini. Cette nouvelle signature, sensiblement différente de celle des douze premiers meurtres, peut être le signe d'une évolution ou d'un changement de comportement lié à des faits nouveaux (la récupération du codex 14, par exemple). Si tel est le cas, cela signifie que le Phoenix s'est fixé un nouvel objectif, certainement redoutable, et qu'il a entamé une nouvelle série de meurtres rituels, encore plus atroces que les premiers, pour l'atteindre coûte que coûte.
MESSAGES DU PHOENIX
Le Phoenix a besoin de voir sa puissance reconnue, allant même jusqu'à narguer la police en lui fournissant des indices (les cd-roms), comme s'il puisait des forces supplémentaires dans les dispositifs mis en place pour le capturer. Cette soif de reconnaissance se traduit également par son besoin de communiquer avec ceux qui le traquent et de leur expliquer ses actes, voire de les justifier. Pour vous permettre de mieux comprendre la personnalité de ce tueur, nous avons sélectionné ci-dessous ses principaux messages.
E-mail envoyé après la libération de Jack Lorski et de Karen Gijman
Tout était prévu depuis le début. Tout.
Sauf l'entêtement de Jack.
Son obstination à suivre mes traces m'a tout d'abord exaspéré.
Mais très vite j'ai compris que lui et sa copine pourraient servir la réalisation de l'Oeuvre, tout au moins contribuer à la faire connaître.
Car ces deux là n'étaient pas Elus.
Tout était prévu. Tout.
Je savais qu'un jour ou l'autre quelqu'un parviendrait à déchiffrer l'Œuvre.
Si ça n'avait pas été toi cela aurait été un autre.
Je savais qu'un jour ou l'autre, ils viendraient les délivrer.
Ils sont venus mais ne m'ont pas trouvé.
Au moment où ils sont arrivés pour les libérer j'étais déjà loin. Très loin.
Ils ne me trouveront pas. Jamais.
Son Œuvre accomplie le Phoenix s'est envolé vers le soleil.
Le Soleil noir, invincible.
Message écrit sur son site Internet le 17 février 2004
J'étais sûr que tu parviendrais jusqu'ici poussin
En ouvrant une à une les portes de mon Oeuvre
Tu as fini par penser comme moi
Tu as fini pas devenir un Elu
Tu connais désormais une partie de la Vérité
Ouvrir ce testament et le parcourir
Ne pouvait être pour toi qu'un jeu
Avant de disparaitre définitivement j'ai souhaité te laisser ce testament
Le 17 février 2003 Guido Forlino dit Guido Corliano fut ma dernière victime.
Responsable de Manus Domini il a payé comme les autres
Il a payé pour ses prédécesseurs
Ceux qui ont ordonné l'éxécution de Volker
En hommage à mon maître, j'ai laissé son cadavre sur la Campo Dei Fiori
Mais avant de mourir Guido m'a donné une information capitale
Je connais maintenant le lieu où le livre maudit est conservé
Je sais maintenant qui détient l'ouvrage
Et qui protège Manus Domini
Et ma vengeance ne fait que commencer
Gerd Hanke et les autres sont désormais sur mes traces
Ils possèdent des informations qui pourraient permettre de me retrouver
La prudence impose de me faire oublier quelques mois
En hommage à mon maître j'ai choisi de disparaitre
Le 17 février…
Nul doute que mon absence créera un vide
Même les monstres ont leurs idoles
Emportant avec moi les secrets qui ne peuvent être dévoilés qu'à certains Elus
Je m'envole définitivement vers le Soleil noir invincible
Dernier message écrit sur son cd-rom blanc
Ha ha ha cet Alex était bien naïf !
Il croyait pouvoir détruire à lui tout seul Manus Domini ! Quel orgueil !
Quoiqu'il en soit, son reportage risquait de compromettre mes plans ;
Malgré toute la haine que je porte pour cette organisation
J'ai préféré le faire taire…
Il n'a pas souffert… ou très peu.
Pour accomplir l'Oeuvre Ultime, sa mort était nécessaire.
Avant de mourir Guido Corliano, le dirigeant de Manus Domini,
M'a donné les informations qui vont me permettre de retrouver
Le Livre
Je ne voulais pas que la police compromette mon plan en fouillant
Dans les arcanes de l'organisation et dans son passé.
Désormais plus rien ne pourra arrêter la Résurrection du Phoenix.
Les Anges de Prague se souviennent et pleurent
Mais le Phoenix guidé par sa Mission Suprême ne les entend pas ;
Il plane au dessus du monde des hommes,
Au dessus de la sphère des Anges,
Très haut dans la Lumière du Soleil Noir,
Là où il est impossible de distinguer le Bien du Mal.
L'Œuvre Ultime s'accomplira…
E-mail envoyé après le décryptage du cd-rom blanc
Tu connais maintenant la Vérité, Poussin
Si Jésus invoqua certains Démons au moment de mourir
C'est parce qu'il était Initié
A ces rites secrets qu'on tente depuis des siècles de nous cacher
Giordano l'avait découvert en son temps
Ils l'ont tué pour cela
Le Phoenix l'a vengé
Mais le Livre existe
Tous ceux qui ont tenté de s'en emparer
Sont morts tragiquement
Assassinés par Manus Domini
Ou sacrifiés comme Carolina sur l'autel du Soleil Noir
Par mes soins.
Cette Quête ne peut pas être partagée
Elle sera achevée
Le jour où j'aurais enfin le Livre entre les mains
Car je suis le seul capable d'en saisir tous les secrets.
Message écrit sur son site Internet le 17 février 2005
Te voici arrivé au seuil de ton initiation, Poussin
Tu connais maintenant l'identité de Luna
J'avais entretenu une longue correspondance avec elle par Internet
Cette petite a été bien naïve d'accepter ce rendez-vous
Attirée par le mystère et par mon pouvoir de séduction
Sa curiosité n'a pas résistée très longtemps…
La pleine lune brillait ce soir là sur la lagune.
J'avais pris soin de neutraliser ce brave Jack et sa jolie compagne.
J'ai déposé son corps supplicié devant le Palais du traître.
Je marche désormais vers la Lumière
Personne, même Gerd Hanke, ne pourra m'arrêter
Le Livre maudit me dévoilera ses secrets
La Résurrection est en marche
A bientôt Poussin
Message du Nouveau Phoenix, gravé sur une de ses victimes le 17 Février 2203
Vous avez failli l'avoir.
Vous avez failli nous avoir.
Vous avez failli m'avoir.
Mais vous n'avez pas réussi.
Mon maître n'est pas mort dans les flammes.
Car comme tout Phoenix il en ressucite.
Alors oui, je le calme :
J'arrive !!!
en bref
# Re: Le PhoenixSam 21 Mar - 0:28
- Points forts :Le point fort du Phoenix est certainement son incroyable intelligence : rusé comme un renard, il est presque impossible de le tromper.
- Lacunes:Indubitablement dû à son intelligence, le Phoenix est très orgeuilleux. Cela masque parfois ses capacités de raisonement et il a alors tendence à commettre des erreurs stupides. Plus habitué à penser qu'à se battre, il peut être facilement maîtrisé lors d'un duel.
- Arme possédée et/ou technique de combat :Le Phoenix possède une collection impresionante de coutaux et de lames diverses
- Equipement particulier:Il garde avec lui un mystérieux parchemin qu'il converse précieusement dans un tube opaque. Il lui arrive aussi de revêtir une bure de moine noire
- Histoire du personnage :L'affaire commence le 1er octobre 2003 lorsque Arnaud Ivan, président de SKL Network, reçoit une lettre signée « Le Phoenix » revendiquant l'enlèvement du journaliste maison Jack Lorski et de sa compagne Karen Gijman. Le couple (
) a disparu huit mois auparavant alors qu'il enquêtait sur des meurtres semblables commis dans toute l'Europe. Personne ne sait encore que débute ainsi l'incroyable histoire du plus mystérieux tueur en série européen depuis Jack l'Éventreur
- Lacunes:Indubitablement dû à son intelligence, le Phoenix est très orgeuilleux. Cela masque parfois ses capacités de raisonement et il a alors tendence à commettre des erreurs stupides. Plus habitué à penser qu'à se battre, il peut être facilement maîtrisé lors d'un duel.
- Arme possédée et/ou technique de combat :Le Phoenix possède une collection impresionante de coutaux et de lames diverses
- Equipement particulier:Il garde avec lui un mystérieux parchemin qu'il converse précieusement dans un tube opaque. Il lui arrive aussi de revêtir une bure de moine noire
- Histoire du personnage :L'affaire commence le 1er octobre 2003 lorsque Arnaud Ivan, président de SKL Network, reçoit une lettre signée « Le Phoenix » revendiquant l'enlèvement du journaliste maison Jack Lorski et de sa compagne Karen Gijman. Le couple (
) a disparu huit mois auparavant alors qu'il enquêtait sur des meurtres semblables commis dans toute l'Europe. Personne ne sait encore que débute ainsi l'incroyable histoire du plus mystérieux tueur en série européen depuis Jack l'Éventreuren bref
# Re: Le PhoenixSam 21 Mar - 0:29
Enquête sur l'enlèvement de Jack Lorski et Karen Gijman
Le 8 octobre suivant, Arnaud Ivan reçoit un étrange CD-ROM noir, envoyé par le Phoenix, dont le contenu est conçu comme un jeu vidéo. Désemparés devant ce programme crypté, SKL et la police décident de le diffuser au grand public sous le nom choisi par le ravisseur : In Memoriam.
• Assassinat du professeur Peter Volker et meurtres en série du Phoenix
Les enquêteurs mobilisés par le décodage du CD-ROM apprennent que Peter Volker, spécialiste des langues anciennes, qui avait disparu en 1975, a été assassiné par des tueurs professionnels à la solde d'une mystérieuse organisation, on saura plus tard qu'il s'agit de Manus Domini, une société secrète ultra catholique chargé de défendre les intérêts de l'Église. Puis ils découvrent que le Phoenix est un serial killer de la pire espèce qui a assassiné 12 personnes entre novembre 2001 et février 2003. Toutes ses victimes, approchées par Internet, étaient membres de Manus Domini, elles ont été sacrifiées froidement, sauvagement, cruellement, et les cadavres ont été mis en scène selon un rituel ésotérique. Tout a été minutieusement pensé, préparé et exécuté.
• Nombreuses références à Giordano Bruno
Les enquêteurs pensent d'abord à un adorateur de Mithra car « SOL INVICTUS » est écrit près de chaque corps, puis ils comprennent que le Phoenix se réfère à Giordano Bruno, un philosophe de la Renaissance qu'il considère comme son Maître ; les lieux des crimes correspondent aux étapes suivies par ce penseur italien au cours de sa vie mouvementée et les mises en scène macabres renvoient aux 12 principes élémentaires de la magie brunienne. En fait, le tueur a assouvi une double vengeance contre Manus Domini : venger la mort de Peter Volker, dont l'organisation est directement responsable, et venger la mort de Giordano Bruno, injustement condamné au bûcher par la Sainte Inquisition médiévale dont les membres de Manus Domini incarnent la résurgence.
• Recherche du codex 14 de Nag Hammadi
Les enquêteurs apprennent enfin que le tueur poursuit un autre but : retrouver le « codex 14 », un manuscrit datant du premier siècle après J.-C. et faisant partie de la bibliothèque de Nag Hammadi, découverte par hasard en 1945 par un paysan égyptien. En 1975, Peter Volker possédait ce livre et le Phoenix pense que Manus Domini l'a récupéré après l'assassinat du professeur. Il a donc torturé le chef de l'organisation pour l'Europe, sa douzième victime, pour savoir où et comment s'en emparer.
En février 2004, le CD-ROM est totalement décrypté et les indices recueillis permettent à la police milanaise de libérer Jack et Karen après un an de détention particulièrement éprouvante. Malheureusement, le Phoenix parvient à s'enfuir avant l'arrivée des forces de l'ordre.
Enquête sur le meurtre de Carolina Molikova et le « suicide » d'Alex Borgo
Après huit mois de silence total, le Phoenix refait parler de lui le 2 octobre 2004 lorsqu'il envoie un nouveau CD-ROM à SKL. Après authentification, ce disque est confié au lieutenant Gerd Hanke, le coordinateur des enquêtes sur le Phoenix au niveau européen. Il contient une vidéo tournée par Alex Borgo, un jeune journaliste qui s'est suicidé en mars 2004, mais les autres fichiers sont cryptés. Tenant compte des bons résultats obtenus la première fois, la police décide encore de le rendre public, il est édité sous le nom évoqué par le tueur : La treizième victime.
• Révélations sur le codex 14 et la mort d'Alex Borgo
Les enquêteurs apprennent qu'Alex Borgo (
), un ex-amant de Carolina Molikova (neuvième victime du tueur), a décidé d'enquêter sur les circonstances réelles de la mort de son ex-compagne. En suivant ses investigations en République tchèque et en Allemagne, ils découvrent que Carolina n'est entrée dans l'organisation que pour retrouver la trace du codex 14 ayant appartenu à son grand-oncle Thomas A. Malko. Le Phoenix leur apprend que les trois derniers propriétaires du livre ont tous été assassinés et il accuse Manus Domini d'être le commanditaire de ces meurtres. À la fin du CD-ROM, les enquêteurs apprennent qu'Alex Borgo a réussi à infiltrer Manus Domini et à obtenir les preuves des agissements criminels de cette organisation. Le Phoenix leur avoue alors qu'il a été obligé d'assassiner le journaliste afin d'empêcher la publication de ces preuves, ce qui aurait pu compromettre toutes ses chances de mettre rapidement la main sur le codex 14.
Enquête sur le meurtre de Jack Lorski
En avril 2006, Jack Lorski (
) part en Andalousie pour filmer l'enquête d'une jeune inspectrice espagnole confrontée aux trois meurtres rituels d'un serial killer. Trois mois plus tard, la police écossaise retrouve son corps atrocement mutilé au bord du Loch Fyne. La signature de ces quatre meurtres est identique et fait immédiatement penser au Phoenix, bien qu'elle soit sensiblement différente de celles qu'il a déjà utilisées jusqu'à présent ; en effet, cette fois-ci, le tueur a prélevé un membre ou un organe sur le corps de chacune de ses victimes. L'hypothèse d'un réveil du Phoenix, après deux années d'inactivité criminelle, se confirme début septembre 2006 par l'envoi d'un DVD-ROM crypté à Steeve Webbing, président de l'ICPA. Après analyse par la police scientifique, son expéditeur est formellement authenthifié. Comme pour les cas précédents, devant la complexité de son programme, l'ICPA et le lieutenant Jeff Mac Evan, responsable de l'enquête, décident de publier ce DVD afin d'en accélerer le décryptage. Il est distribué depuis le 21 septembre 2006 sous le nom que le Phoenix a lui-même inscrit sur l'original : In Memoriam - Le dernier rituel. A l'annonce de la mort de Lorski, une organisation privée se monte, l'International Committee for the Phoenix Arrest. Son seul but est d'aider les services de police et de justice internationaux à mettre fin le plus tôt possible aux agissements criminels du Phoenix.
Les experts de l'ICPA parviennent à décoder le DVD après un dur labeur. Le DVD contient les videos prises par le caméraman de Jack puis par Jack lui-même lors de son enquête. Une autre serie de videos est également présente. Ce sont les videos prises par une certaine Jessica et sa meilleure amie, parties à la recherche d'Adrian, le frère de Jessica. En visionant toutes les videos, les enquèteurs finissent par comprendre qu'Adrian était devenu le disciple du Phoenix et que c'était ce dernier qui avait enlevé Jack et Karen. Les messages d'Adrian montrent que ce dernier avait pris conscience de la dangerosité du Phoenix et a donc contacté sa soeur pour la prévenir. Hélas, Adrian sera tué par le Phoenix qui se lança sur les traces de Jessica et de son amie. Il tue cette dernière et capture Jessica pour la soumettre à une épreuve macabre. Ayant réussi à localiser le QG du Phoenix dans la lande écossaise, une équipe d'intervention se précipite à l'intérieur et affronte le Phoenix. Ce dernier met alors le feu à son QG, s'immolant par la même occasion. L'équipe parvient néamoins à récupérer Jessica, choquée mais vivante. Le corps du tueur, ses plans et surtout le Codex 14 sont perdus dans les flammes. L'histoire du Phoenix semble s'arrêter là.
Mais en 2207, une série de meurtres sanglants a lieu aux Etat Unis. Les victimes sont de tout bords, le tueur ne semble faire aucune distinction. Quand un haut dirigeant d'industrie est tué et que des lésions en forme de croix sont trouvées sur son coros, on découvre que les cicatrices forment un code. Le message est celui du meurtrier. Il affirme être l'héritier du Phoenix européen et réclame son titre. La carte des meurtres prouve que l'assassin s'approche à grands pas de l'ancienne ville de LA. Pour quelle raison le nouveau Phoenix fait-il cela ? Comme son prédécésseur, le Phoenix semle suivre un rituel bien précis mais qui n'obéit qu'à lui...
Le 8 octobre suivant, Arnaud Ivan reçoit un étrange CD-ROM noir, envoyé par le Phoenix, dont le contenu est conçu comme un jeu vidéo. Désemparés devant ce programme crypté, SKL et la police décident de le diffuser au grand public sous le nom choisi par le ravisseur : In Memoriam.
• Assassinat du professeur Peter Volker et meurtres en série du Phoenix
Les enquêteurs mobilisés par le décodage du CD-ROM apprennent que Peter Volker, spécialiste des langues anciennes, qui avait disparu en 1975, a été assassiné par des tueurs professionnels à la solde d'une mystérieuse organisation, on saura plus tard qu'il s'agit de Manus Domini, une société secrète ultra catholique chargé de défendre les intérêts de l'Église. Puis ils découvrent que le Phoenix est un serial killer de la pire espèce qui a assassiné 12 personnes entre novembre 2001 et février 2003. Toutes ses victimes, approchées par Internet, étaient membres de Manus Domini, elles ont été sacrifiées froidement, sauvagement, cruellement, et les cadavres ont été mis en scène selon un rituel ésotérique. Tout a été minutieusement pensé, préparé et exécuté.
• Nombreuses références à Giordano Bruno
Les enquêteurs pensent d'abord à un adorateur de Mithra car « SOL INVICTUS » est écrit près de chaque corps, puis ils comprennent que le Phoenix se réfère à Giordano Bruno, un philosophe de la Renaissance qu'il considère comme son Maître ; les lieux des crimes correspondent aux étapes suivies par ce penseur italien au cours de sa vie mouvementée et les mises en scène macabres renvoient aux 12 principes élémentaires de la magie brunienne. En fait, le tueur a assouvi une double vengeance contre Manus Domini : venger la mort de Peter Volker, dont l'organisation est directement responsable, et venger la mort de Giordano Bruno, injustement condamné au bûcher par la Sainte Inquisition médiévale dont les membres de Manus Domini incarnent la résurgence.
• Recherche du codex 14 de Nag Hammadi
Les enquêteurs apprennent enfin que le tueur poursuit un autre but : retrouver le « codex 14 », un manuscrit datant du premier siècle après J.-C. et faisant partie de la bibliothèque de Nag Hammadi, découverte par hasard en 1945 par un paysan égyptien. En 1975, Peter Volker possédait ce livre et le Phoenix pense que Manus Domini l'a récupéré après l'assassinat du professeur. Il a donc torturé le chef de l'organisation pour l'Europe, sa douzième victime, pour savoir où et comment s'en emparer.
En février 2004, le CD-ROM est totalement décrypté et les indices recueillis permettent à la police milanaise de libérer Jack et Karen après un an de détention particulièrement éprouvante. Malheureusement, le Phoenix parvient à s'enfuir avant l'arrivée des forces de l'ordre.
Enquête sur le meurtre de Carolina Molikova et le « suicide » d'Alex Borgo
Après huit mois de silence total, le Phoenix refait parler de lui le 2 octobre 2004 lorsqu'il envoie un nouveau CD-ROM à SKL. Après authentification, ce disque est confié au lieutenant Gerd Hanke, le coordinateur des enquêtes sur le Phoenix au niveau européen. Il contient une vidéo tournée par Alex Borgo, un jeune journaliste qui s'est suicidé en mars 2004, mais les autres fichiers sont cryptés. Tenant compte des bons résultats obtenus la première fois, la police décide encore de le rendre public, il est édité sous le nom évoqué par le tueur : La treizième victime.
• Révélations sur le codex 14 et la mort d'Alex Borgo
Les enquêteurs apprennent qu'Alex Borgo (
), un ex-amant de Carolina Molikova (neuvième victime du tueur), a décidé d'enquêter sur les circonstances réelles de la mort de son ex-compagne. En suivant ses investigations en République tchèque et en Allemagne, ils découvrent que Carolina n'est entrée dans l'organisation que pour retrouver la trace du codex 14 ayant appartenu à son grand-oncle Thomas A. Malko. Le Phoenix leur apprend que les trois derniers propriétaires du livre ont tous été assassinés et il accuse Manus Domini d'être le commanditaire de ces meurtres. À la fin du CD-ROM, les enquêteurs apprennent qu'Alex Borgo a réussi à infiltrer Manus Domini et à obtenir les preuves des agissements criminels de cette organisation. Le Phoenix leur avoue alors qu'il a été obligé d'assassiner le journaliste afin d'empêcher la publication de ces preuves, ce qui aurait pu compromettre toutes ses chances de mettre rapidement la main sur le codex 14. Enquête sur le meurtre de Jack Lorski
En avril 2006, Jack Lorski (
) part en Andalousie pour filmer l'enquête d'une jeune inspectrice espagnole confrontée aux trois meurtres rituels d'un serial killer. Trois mois plus tard, la police écossaise retrouve son corps atrocement mutilé au bord du Loch Fyne. La signature de ces quatre meurtres est identique et fait immédiatement penser au Phoenix, bien qu'elle soit sensiblement différente de celles qu'il a déjà utilisées jusqu'à présent ; en effet, cette fois-ci, le tueur a prélevé un membre ou un organe sur le corps de chacune de ses victimes. L'hypothèse d'un réveil du Phoenix, après deux années d'inactivité criminelle, se confirme début septembre 2006 par l'envoi d'un DVD-ROM crypté à Steeve Webbing, président de l'ICPA. Après analyse par la police scientifique, son expéditeur est formellement authenthifié. Comme pour les cas précédents, devant la complexité de son programme, l'ICPA et le lieutenant Jeff Mac Evan, responsable de l'enquête, décident de publier ce DVD afin d'en accélerer le décryptage. Il est distribué depuis le 21 septembre 2006 sous le nom que le Phoenix a lui-même inscrit sur l'original : In Memoriam - Le dernier rituel. A l'annonce de la mort de Lorski, une organisation privée se monte, l'International Committee for the Phoenix Arrest. Son seul but est d'aider les services de police et de justice internationaux à mettre fin le plus tôt possible aux agissements criminels du Phoenix. Les experts de l'ICPA parviennent à décoder le DVD après un dur labeur. Le DVD contient les videos prises par le caméraman de Jack puis par Jack lui-même lors de son enquête. Une autre serie de videos est également présente. Ce sont les videos prises par une certaine Jessica et sa meilleure amie, parties à la recherche d'Adrian, le frère de Jessica. En visionant toutes les videos, les enquèteurs finissent par comprendre qu'Adrian était devenu le disciple du Phoenix et que c'était ce dernier qui avait enlevé Jack et Karen. Les messages d'Adrian montrent que ce dernier avait pris conscience de la dangerosité du Phoenix et a donc contacté sa soeur pour la prévenir. Hélas, Adrian sera tué par le Phoenix qui se lança sur les traces de Jessica et de son amie. Il tue cette dernière et capture Jessica pour la soumettre à une épreuve macabre. Ayant réussi à localiser le QG du Phoenix dans la lande écossaise, une équipe d'intervention se précipite à l'intérieur et affronte le Phoenix. Ce dernier met alors le feu à son QG, s'immolant par la même occasion. L'équipe parvient néamoins à récupérer Jessica, choquée mais vivante. Le corps du tueur, ses plans et surtout le Codex 14 sont perdus dans les flammes. L'histoire du Phoenix semble s'arrêter là.
Mais en 2207, une série de meurtres sanglants a lieu aux Etat Unis. Les victimes sont de tout bords, le tueur ne semble faire aucune distinction. Quand un haut dirigeant d'industrie est tué et que des lésions en forme de croix sont trouvées sur son coros, on découvre que les cicatrices forment un code. Le message est celui du meurtrier. Il affirme être l'héritier du Phoenix européen et réclame son titre. La carte des meurtres prouve que l'assassin s'approche à grands pas de l'ancienne ville de LA. Pour quelle raison le nouveau Phoenix fait-il cela ? Comme son prédécésseur, le Phoenix semle suivre un rituel bien précis mais qui n'obéit qu'à lui...
en bref
# Re: Le PhoenixSam 21 Mar - 0:30
- Groupe choisi :Autres
- Sous groupe
- Les amis :Aucun ami, c'est un solitaire.
- Les ennemis :Il n'a pas d'ennemi en particulier, hormis les "hérétiques" et d'une manière générale, ceux qui s'opposent à lui.
- La famille :Refuse d'en parler.
Multi comptes
- Autre personnage :Non
Vous:
- votre âge18
- comment avez-vous connu le site?Top site
- Participez vous à d'autres forums ?Oui
- quelques mots sur vous ! :Nutella président !
Saison 1 : Dès son arrivée en ville, le Phoenix débute quelques meurtres qui attirent l'attention d'Alpha. Il charge Lisbeth son adjointe, de le surveiller. Capturé par les troupes de la jeune femme, il se rend avec elle au Gala du Premier Mai où il se présente sous le nom de Herr Doktor Phonix. Le Gala sera interrompu par la menace d'un attentat terroriste au Stadium. Accompagnant de fait la chef de la sécurité, le Phoenix se rend sur place. Le Phoenix neutralisera les terroristes d'une manière très surprenante, au regard des standards de sécurité et s'attire de fait, l'ire de Monsieur Fitzgerald.
Après le Gala, le Phoenix est libéré de sa "garde à vue"...du moins en apparence. Il s'installe alors dans un vieux bâtiment délabré, le Dunwich Building et poursuit ses plans ésotériques.
Le hasard le conduira en présence de Lucrezia De Rossi, chef des Red Skulls de Las Vegas, récement arrivée à West-Epsilon pour éliminer une traîtresse. Entre le psychopathe et la mafiosa, qui adorent tous deux les meurtres, la violence et la torture, l'entente est parfaite. Le Phoenix est alors engagé pour traquer et rammener Juliet, la traitresse en question. Au cours de sa chasse, le jeune homme subira deux déboires : il sera d'abord blessé lors d'un affrontement, recevant des balles dans le ventre et dans le poumon. Il sera mystérieusement sauvé par Oméga, la rivale de Lisbeth.
Le Phoenix finira par retrouver la trace de Juliet et l'apporte à Lucrezia. Ce n'est que lors de l'interrogatoire qu'ils se rendent compte que la femme capturée n'est qu'un sosie. Au même moment, la véritable Juliet lance une attaque massive sur les possessions des De Rossi.
Le Phoenix parviendra à inverser la vapeur, piègant l'essentiel des hommes de Juliet dans le port avant de les affronter aux côtés de Lucrezia et de ses hommes.
Il sera capturé par le W.E.P.D, la police de la ville avant d'être relâché sur ordre express de Lisbeth. Elle le nomme alors chef de la Section Spéciale de la Sécurité Intérieure, anciennement dirigée par le tristement célèbre Creedy. Contre toute attente, le Phoenix va alors débarasser la SecSpé de ses élements les plus désobéissants et commencer une refonte profonde de cette dernière. Au même moment, des meurtres étranges sont commis en ville, portant une signature semblable à celle du Phoenix. Le jeune homme enquête, à la fois officiellement et officieusement. Il suspectera un temps le journaliste Damon Blake dont l'ADN avait été retrouvé sur les lieux du crime avant de lui proposer d'aider la SecSpé dans son enquête. Mais la Section spéciale ne durera guère plus longtemps puisque Lisbeth sera alors renvoyée et remplacée par Fitzgerald. Ce dernier fait dissoudre la SecSpé et destitue le Phoenix de ses pouvoirs. Considéré comme humilié, le Phoenix jure à Fitzgerald qu'il aura sa revenche.
Débarassé de fait de ses obligations envers Alpha, le Phoenix retourne à l'affaire Juliet, retrouvant Lucrezia et les De Rossi. L'italienne et le jeune homme entammeont d'ailleurs une liaison.
Le Phoenix se rend au Gala de Charité de Lisbeth récement revenue en grâce, plus par amitié envers l'ex-chef de la sécurité que pour autre chose. La soirée sera perturbée par la diffusion non autorisée d'une video de meurtre, impliquant un sosie de Lisbeth. Au cours de cette soirée, le Phoenix découvre également que Lisbeth vient de se fiancer avec Alpha et qu'elle porte son enfant. Le jeune homme est immédiatement arrêté par les hommes de Fitzgerald qui lui "proposera" d'enquêter sur l'incident. Il lui donne deux semaines pour retrouver le copycat et carte blanche. Il lui donne aussi une partenaire de traque peu loquace : Samantha, la fidèle main armée de Fitzgerald.
Le Phoenix et la jeune femme avaient alors tourné leur attention vers les Précheurs, un groupe de religieux arrivé il y a peu, ayant pris une importance gargantuesque.
Cinq ans plus tard : L'échéance des deux semaines arrivant à terme, le Phoenix disparaît dans la nature, non sans avoir auparavant livré la vraie Juliet aux De Rossi. Il repartira alors en Europe.
Ses activités là-bas sont mal connues. On sait qu'il subit un entraînement draconnien de la part de son maître, qui ne supporte par l'échec de son disciple sur l'affaire du copycat.
Pendant cinq ans, le Phoenix sombrera encore plus loin et plus profond dans les ténèbres, devenant encore plus psychopathe qu'auparavant.
Son entraînement terminé, il est jugé digne de porter seul le titre de Phoenix et de trouver un disciple à son tour. Il va alors rediriger son attention sur ce qu'il reste de la Californie, où il en est sûr, doit se trouver nombre de candidats de valeur.
Saison Deux : dès son retour à West-Epsilon, le Phoenix fait la connaissance de Gunslinger, mafieux de Las Vegas, trahi par son ancien parrain qui cherche à se venger. Le Phoenix, à la fois par jeu et par volonté de se forger un allié dans le conflit qui l'oppose à monsieur Fitzgerald, dont le jeune homme veut toujours la mort et la déchéance, décide de soutenir Gunslinger.
Les deux hommes partent pour Las Vegas où le Phoenix va demander aide et protection au clan De Rossi, dont il a été l'allié quelques années auparavant. Il y retrouve son ancienne maîtresse Lucrezia. Entre le psychopathe et la mafiosa, les retrouvailles sont aussi passionnées que sanglantes et le jour de Noël, Gunslinger se prépare au coup d'Etat contre son ancienne famille, soutenu en sous-main par le clan De Rossi et le Phoenix.
Saison trois : le coup de force est un succès et Gunslinger devient parrain de sa propre famille. Las Vegas se divise alors en deux grandes zones d'influences, celle de Gunslinger et celle des De Rossi.
Le Phoenix se prépare à demander la chute de Fitzgerald comme entendu par l'accord passé avec le mafieux mais avant que Gunslinger ne puisse payer sa dette, Fitzgerald meurt. Humiliation ultime pour le Phoenix qui voulait le tuer de ses mains : on lui a volé la mort de celui qu'il considérait comme son némésis.
Le Phoenix va vivoter quelques temps à Las Vegas, partageant son temps entre services rendus aux deux clans dont il est de facto l'allié, les De Rossi et la famille de Gunslinger.
Mais cette vie d'homme de main quoique agréable le lasse et il n'a toujours pas abandonné ses desseins ésotériques. Les évènements de la construction du mur, à West-E qui mettent un coup d'arrêt aux affaires de Las Vegas poussent le Phoenix à se porter volontaire, au nom du clan De Rossi a se rendre sur place pour trouver une solution.
En réalité, le Phoenix compte aussi en profiter pour réparer sur ce qu'il considère comme une autre grande humiliation de sa vie : il veut remonter la piste du copycat vieille de sept ans et punir celui qui avait osé singer sa signature rituelle.
Entre la S3 & la S4 : alors que West-E plonge chaque jour plus dans le désespoir, le Phoenix s'en accomode. Il n'accorde que peu d'intérêt aux évènements extérieurs, ne se sentant que peu concerné par l'avenir de la cité. Il se borne surtout à fréquenter les milieux du crime organisé, restant de fait, le seul légataire du clan De Rossi sur place. L'isolement prive nécéssairement le Phenoix de tout réel soutien de la mafia de Las Vegas, mais il s'en accomode. Par ailleurs, il n'abandonne toujours pas son vieil objectif qui est de remettre la main sur la personne qui, des années auparavant, avait singé ses crimes en imitant sa signature rituelle.
Le Phoenix marche désormais sur la ville, prêt à déchaîner les feux des enfers à l'encontre de quiconque l'empêchera d'atteindre ses objectifs et de complèter son mystérieux rituel.
- Sous groupe
- Les amis :Aucun ami, c'est un solitaire.
- Les ennemis :Il n'a pas d'ennemi en particulier, hormis les "hérétiques" et d'une manière générale, ceux qui s'opposent à lui.
- La famille :Refuse d'en parler.
Multi comptes
- Autre personnage :Non
Vous:
- votre âge18
- comment avez-vous connu le site?Top site
- Participez vous à d'autres forums ?Oui
- quelques mots sur vous ! :Nutella président !
Saison 1 : Dès son arrivée en ville, le Phoenix débute quelques meurtres qui attirent l'attention d'Alpha. Il charge Lisbeth son adjointe, de le surveiller. Capturé par les troupes de la jeune femme, il se rend avec elle au Gala du Premier Mai où il se présente sous le nom de Herr Doktor Phonix. Le Gala sera interrompu par la menace d'un attentat terroriste au Stadium. Accompagnant de fait la chef de la sécurité, le Phoenix se rend sur place. Le Phoenix neutralisera les terroristes d'une manière très surprenante, au regard des standards de sécurité et s'attire de fait, l'ire de Monsieur Fitzgerald.
Après le Gala, le Phoenix est libéré de sa "garde à vue"...du moins en apparence. Il s'installe alors dans un vieux bâtiment délabré, le Dunwich Building et poursuit ses plans ésotériques.
Le hasard le conduira en présence de Lucrezia De Rossi, chef des Red Skulls de Las Vegas, récement arrivée à West-Epsilon pour éliminer une traîtresse. Entre le psychopathe et la mafiosa, qui adorent tous deux les meurtres, la violence et la torture, l'entente est parfaite. Le Phoenix est alors engagé pour traquer et rammener Juliet, la traitresse en question. Au cours de sa chasse, le jeune homme subira deux déboires : il sera d'abord blessé lors d'un affrontement, recevant des balles dans le ventre et dans le poumon. Il sera mystérieusement sauvé par Oméga, la rivale de Lisbeth.
Le Phoenix finira par retrouver la trace de Juliet et l'apporte à Lucrezia. Ce n'est que lors de l'interrogatoire qu'ils se rendent compte que la femme capturée n'est qu'un sosie. Au même moment, la véritable Juliet lance une attaque massive sur les possessions des De Rossi.
Le Phoenix parviendra à inverser la vapeur, piègant l'essentiel des hommes de Juliet dans le port avant de les affronter aux côtés de Lucrezia et de ses hommes.
Il sera capturé par le W.E.P.D, la police de la ville avant d'être relâché sur ordre express de Lisbeth. Elle le nomme alors chef de la Section Spéciale de la Sécurité Intérieure, anciennement dirigée par le tristement célèbre Creedy. Contre toute attente, le Phoenix va alors débarasser la SecSpé de ses élements les plus désobéissants et commencer une refonte profonde de cette dernière. Au même moment, des meurtres étranges sont commis en ville, portant une signature semblable à celle du Phoenix. Le jeune homme enquête, à la fois officiellement et officieusement. Il suspectera un temps le journaliste Damon Blake dont l'ADN avait été retrouvé sur les lieux du crime avant de lui proposer d'aider la SecSpé dans son enquête. Mais la Section spéciale ne durera guère plus longtemps puisque Lisbeth sera alors renvoyée et remplacée par Fitzgerald. Ce dernier fait dissoudre la SecSpé et destitue le Phoenix de ses pouvoirs. Considéré comme humilié, le Phoenix jure à Fitzgerald qu'il aura sa revenche.
Débarassé de fait de ses obligations envers Alpha, le Phoenix retourne à l'affaire Juliet, retrouvant Lucrezia et les De Rossi. L'italienne et le jeune homme entammeont d'ailleurs une liaison.
Le Phoenix se rend au Gala de Charité de Lisbeth récement revenue en grâce, plus par amitié envers l'ex-chef de la sécurité que pour autre chose. La soirée sera perturbée par la diffusion non autorisée d'une video de meurtre, impliquant un sosie de Lisbeth. Au cours de cette soirée, le Phoenix découvre également que Lisbeth vient de se fiancer avec Alpha et qu'elle porte son enfant. Le jeune homme est immédiatement arrêté par les hommes de Fitzgerald qui lui "proposera" d'enquêter sur l'incident. Il lui donne deux semaines pour retrouver le copycat et carte blanche. Il lui donne aussi une partenaire de traque peu loquace : Samantha, la fidèle main armée de Fitzgerald.
Le Phoenix et la jeune femme avaient alors tourné leur attention vers les Précheurs, un groupe de religieux arrivé il y a peu, ayant pris une importance gargantuesque.
Cinq ans plus tard : L'échéance des deux semaines arrivant à terme, le Phoenix disparaît dans la nature, non sans avoir auparavant livré la vraie Juliet aux De Rossi. Il repartira alors en Europe.
Ses activités là-bas sont mal connues. On sait qu'il subit un entraînement draconnien de la part de son maître, qui ne supporte par l'échec de son disciple sur l'affaire du copycat.
Pendant cinq ans, le Phoenix sombrera encore plus loin et plus profond dans les ténèbres, devenant encore plus psychopathe qu'auparavant.
Son entraînement terminé, il est jugé digne de porter seul le titre de Phoenix et de trouver un disciple à son tour. Il va alors rediriger son attention sur ce qu'il reste de la Californie, où il en est sûr, doit se trouver nombre de candidats de valeur.
Saison Deux : dès son retour à West-Epsilon, le Phoenix fait la connaissance de Gunslinger, mafieux de Las Vegas, trahi par son ancien parrain qui cherche à se venger. Le Phoenix, à la fois par jeu et par volonté de se forger un allié dans le conflit qui l'oppose à monsieur Fitzgerald, dont le jeune homme veut toujours la mort et la déchéance, décide de soutenir Gunslinger.
Les deux hommes partent pour Las Vegas où le Phoenix va demander aide et protection au clan De Rossi, dont il a été l'allié quelques années auparavant. Il y retrouve son ancienne maîtresse Lucrezia. Entre le psychopathe et la mafiosa, les retrouvailles sont aussi passionnées que sanglantes et le jour de Noël, Gunslinger se prépare au coup d'Etat contre son ancienne famille, soutenu en sous-main par le clan De Rossi et le Phoenix.
Saison trois : le coup de force est un succès et Gunslinger devient parrain de sa propre famille. Las Vegas se divise alors en deux grandes zones d'influences, celle de Gunslinger et celle des De Rossi.
Le Phoenix se prépare à demander la chute de Fitzgerald comme entendu par l'accord passé avec le mafieux mais avant que Gunslinger ne puisse payer sa dette, Fitzgerald meurt. Humiliation ultime pour le Phoenix qui voulait le tuer de ses mains : on lui a volé la mort de celui qu'il considérait comme son némésis.
Le Phoenix va vivoter quelques temps à Las Vegas, partageant son temps entre services rendus aux deux clans dont il est de facto l'allié, les De Rossi et la famille de Gunslinger.
Mais cette vie d'homme de main quoique agréable le lasse et il n'a toujours pas abandonné ses desseins ésotériques. Les évènements de la construction du mur, à West-E qui mettent un coup d'arrêt aux affaires de Las Vegas poussent le Phoenix à se porter volontaire, au nom du clan De Rossi a se rendre sur place pour trouver une solution.
En réalité, le Phoenix compte aussi en profiter pour réparer sur ce qu'il considère comme une autre grande humiliation de sa vie : il veut remonter la piste du copycat vieille de sept ans et punir celui qui avait osé singer sa signature rituelle.
Entre la S3 & la S4 : alors que West-E plonge chaque jour plus dans le désespoir, le Phoenix s'en accomode. Il n'accorde que peu d'intérêt aux évènements extérieurs, ne se sentant que peu concerné par l'avenir de la cité. Il se borne surtout à fréquenter les milieux du crime organisé, restant de fait, le seul légataire du clan De Rossi sur place. L'isolement prive nécéssairement le Phenoix de tout réel soutien de la mafia de Las Vegas, mais il s'en accomode. Par ailleurs, il n'abandonne toujours pas son vieil objectif qui est de remettre la main sur la personne qui, des années auparavant, avait singé ses crimes en imitant sa signature rituelle.
Le Phoenix marche désormais sur la ville, prêt à déchaîner les feux des enfers à l'encontre de quiconque l'empêchera d'atteindre ses objectifs et de complèter son mystérieux rituel.
en bref
# Re: Le PhoenixDim 22 Mar - 12:37
Fiche Validée 
Tu peux si tu le souhaites faire à la suite de ta présentation une feuille optionnelle mode jdr
et aussi générer la feuille de perso dans ton profil !
Bienvenu !
Oh mon dieu je viens de lacher un psychopathe dans la ville !!!
Tu peux si tu le souhaites faire à la suite de ta présentation une feuille optionnelle mode jdr
et aussi générer la feuille de perso dans ton profil !
Bienvenu !
Oh mon dieu je viens de lacher un psychopathe dans la ville !!!
en brefDate d'inscription : 15/02/2009
Feuille de personnage
PdV :
PdC:
Défense PHY/PSY:
Feuille de personnage
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PdC:
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# Re: Le PhoenixDim 22 Mar - 17:47
ah oui comme je suis nulle au jeu de qui est qui
c'est qui ton avatar ?
c'est qui ton avatar ?
en brefDate d'inscription : 15/02/2009
Feuille de personnage
PdV :
PdC:
Défense PHY/PSY:
Feuille de personnage
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# Re: Le PhoenixDim 22 Mar - 18:42
Normalement c'est Gaspard Ulliel
en bref
# Re: Le PhoenixDim 22 Mar - 21:34
Niveau = 5
Caractéristiques
Constitution [CO] = 3
Réaction[RE] = 3
Force[FO] = 2
Charisme[CH] = 4
Intelligence[IN] = 6
Volonté[VO] = 4
PV = 20
Cash disponible [roll="D100"]1[/roll] =
Les Compétences
Points Forts
-Furtivité[RE] 2
-Armes blanches[RE] 7
-Intimidation[VO] 2
-Informatique[IN] 2
-Psychologie[VO] 4
-Etiquette[CH] 1
Lacunes
-Vol à la tire[RE] -2
-Combat à mains nues[FO] -2
-Explosifs[IN] -2
Caractéristiques
Constitution [CO] = 3
Réaction[RE] = 3
Force[FO] = 2
Charisme[CH] = 4
Intelligence[IN] = 6
Volonté[VO] = 4
PV = 20
Cash disponible [roll="D100"]1[/roll] =
Les Compétences
Points Forts
-Furtivité[RE] 2
-Armes blanches[RE] 7
-Intimidation[VO] 2
-Informatique[IN] 2
-Psychologie[VO] 4
-Etiquette[CH] 1
Lacunes
-Vol à la tire[RE] -2
-Combat à mains nues[FO] -2
-Explosifs[IN] -2
en bref
# Re: Le PhoenixLun 23 Mar - 20:45
en brefDate d'inscription : 15/02/2009
Feuille de personnage
PdV :
PdC:
Défense PHY/PSY:
Feuille de personnage
PdV :
PdC:
Défense PHY/PSY:
# Re: Le PhoenixLun 23 Mar - 21:01
Diantre, je suis pris 
J'y cours^^
J'y cours^^
en bref
# Re: Le PhoenixVen 6 Aoû - 23:55
MAJ faite.
en bref
# Re: Le PhoenixDim 8 Aoû - 19:14
ok
en brefDate d'inscription : 15/02/2009
Feuille de personnage
PdV :
PdC:
Défense PHY/PSY:
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PdC:
Défense PHY/PSY:
# Re: Le PhoenixMar 4 Jan - 22:07
MAJ
en bref
# Re: Le PhoenixMar 3 Juil - 11:51
MAJ S3.
en bref
# Re: Le PhoenixMar 3 Juil - 12:22
ok !
en piste Ninix !
en piste Ninix !
en brefDate d'inscription : 15/02/2009
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Défense PHY/PSY:
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# Re: Le PhoenixMar 3 Juil - 12:23
*prépare ses lames*
So let's dance.
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# Re: Le PhoenixDim 14 Déc - 22:08
Je vais aller mettre à jour les infos de la saison 4. Juste pour qu'on puisse bien me confirmer que j'ai pas fait de bétises :
- Spoiler:
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# Re: Le PhoenixDim 14 Déc - 22:17
le nb de PV devrait être 11 pts 2xCO + 5 level
je suppose que c'est calculé par la feuille donc je remonte la coquille (de poussin) à Sam pour correction
quand je lis ton back, je me dis que tu devrais au moins avoir orgueil/susceptibilité à -2 avec comme effet que tu doives faire un jet de volonté si on te critique.si tu le rates, tu perds ton sang froid, tes actions se font à -2 jusqu'à ce que tu puisses te calmer ou prouver que tu es le meilleur ^^
et combat à mains nues -2 ça me va.
welcome again poussinou
je suppose que c'est calculé par la feuille donc je remonte la coquille (de poussin) à Sam pour correction
quand je lis ton back, je me dis que tu devrais au moins avoir orgueil/susceptibilité à -2 avec comme effet que tu doives faire un jet de volonté si on te critique.si tu le rates, tu perds ton sang froid, tes actions se font à -2 jusqu'à ce que tu puisses te calmer ou prouver que tu es le meilleur ^^
et combat à mains nues -2 ça me va.
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en brefDate d'inscription : 15/02/2009
Feuille de personnage
PdV :
PdC:
Défense PHY/PSY:
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# Re: Le PhoenixLun 15 Déc - 20:15
Voilà la fiche. Comme pour les lacunes, on devait passer par le menu déroulant, j'ai pris "composition" à défaut de trouver quelque chose qui s'approchait le mieux de la suceptibilité, comme bien pensé par Spirit.
http://sendbox.fr/pro/ix5aemk36fxd/ninix.ods.html
http://sendbox.fr/pro/ix5aemk36fxd/ninix.ods.html
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# Re: Le PhoenixLun 15 Déc - 20:37
Tu n'es pas obligé de prendre une compétence en lacunes : tu peux prendre quelque chose à part, tant qu'il y a bien un impact pouvant mettre en danger ton PJ dans certaines situations puis qu'imposant/guidant sa réaction au delà de toute raison de survie (encore que parler de raison quand on parle de Ninix....).
Bref, tu peux prendre "susceptibilité".
Bref, tu peux prendre "susceptibilité".
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# Re: Le PhoenixLun 15 Déc - 22:04
En fait, ce que je veux dire, c'est que quand je bricole la fiche et que je rentre la lacune, dans "nom", je suis obligé de prendre une compétence proposée par le menu déroulant. Si j'essaye de retoucher à la main en mettant autre chose, la fiche me dit "valeur incorrecte", et m'oblige à choisir quelque chose de prédéfini. D'où mon choix par défaut de "composition" vu que ça fait appel à la VO.
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# Re: Le PhoenixLun 15 Déc - 22:10
En fait, la fiche cherche la CARAC associée, mais évidemment ne trouve rien. De fait, il faut effacer toutes les formules de la ligne où tu mets "susceptibilité" et ensuite le décrire "manuellement".
Mais si "composition" te va, cela me va aussi ! C'est juste que ce point de règle sur les lacunes étant nouveau, il n'est pas forcément connu.
Mais si "composition" te va, cela me va aussi ! C'est juste que ce point de règle sur les lacunes étant nouveau, il n'est pas forcément connu.
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# Re: Le PhoenixLun 15 Déc - 22:15
Alors on va rester là dessus, déjà que je galère avec ce tableur, on va pas en rajouter 
MAJ des évènements entre la S3 et maintenant faite. Je pense que tout est bon.
MAJ des évènements entre la S3 et maintenant faite. Je pense que tout est bon.
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